Composantes

Le Centre d’Études Médiévales et Dialectales (CEMD) se caractérise par l’alliance de la littérature, de la philologie et de la dialectologie. Il est animé par des enseignants-chercheurs lillois qui se consacrent à l’étude de la langue et de la littérature, au Moyen Âge et/ou dans l’aire picarde.

 

Ses principaux domaines de recherche sont :

- Les écritures épiques, poétiques, historiques et romanesques médiévales

- Les éditions critiques de textes médiévaux

- La réception de l’Antiquité au Moyen Âge et au début du XVIe siècle

- Les relations entre texte et image

- Le passage du manuscrit à l’imprimé et la réception de la littérature médiévale au XVIe siècle

- Les adaptations de la littérature médiévale à l’époque moderne et contemporaine

- Les atlas linguistiques du domaine picard

- Les rapports historiques et sociolinguistiques entre variétés minoritaires et variétés standardisées

 

Le centre publie annuellement un numéro de la revue Bien Dire et bien Aprandre (fondée par François Suard et Aimé Petit en 1978) qui aborde en profondeur l’actualité de la recherche en médiévistique et/ou en études picardes. (https://www.septentrion.com/fr/revues/biendireetbienaprandre/).

Le Groupe de Recherche sur les Littératures de la Première Modernité (XVIe-XVIIIe siècles) se compose de 18 chercheurs dont les travaux ont pour dénominateur commun de porter sur la littérature française de la Renaissance au temps des Lumières, mais aussi sur les relations (de traductions, adaptations, échanges, transferts culturels...) de celle-ci avec les littératures et les cultures dominant alors l’Europe occidentale : principalement l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, l’Angleterre... Le groupe de recherche se compose de trois professeurs (Marie-Claire Thomine (XVIe siècle), Frank Greiner (XVIIe siècle), Caroline Jacot-Grapa (XVIIIe siècle), de six maîtres de conférences Benedikte Andersson (XVIe siècle), Frédéric Briot, Sophie Hache, Adrienne Petit, Charles-Olivier Stiker-Métral (XVIIe siècle), Anne Richardot (XVIIIe siècle), d’une ATER, Meriele Miranda de Souza (XVIe siècle) et de 8 doctorants et docteurs (Marion Bracq, Clément Cadiot, Hina Ghulam, Amina Houara, Aude Lecimbre, Marine Bastide de Sousa, Rebecca Legrand, Amandine Lembré)

Bilans et axes de recherche

- Philologie et éditions de textes : éditions critiques dans la collection « Mémoire des textes » aux éditions du Septentrion (dir. F. Greiner), et dans les séries « Devis et commentaires » (dir. M-C. Thomine), « Romans, contes et nouvelles du XVIIe siècle » (dir. F. Greiner) aux éditions Classiques Garnier. Frank Greiner travaille à l’édition numérique (site « Le Règne d’Astrée ») et sur papier (éd. Champion) de L’Astrée (resp. D. Denis, Sorbonne Université). Édition des Œuvres oratoires de Bossuet (dir. Anne Régent-Susini, Sorbonne la Nouvelle). Édition du Petit carême de Massillon (S. Hache, Classiques Garnier)

- Littérature, langue et Histoire : circulation et réception de la facétie (M.-C. Thomine), histoire du roman français au XVIIe siècle (cycle de journées d’étude et édition d’un répertoire bibliographique), histoire de la langue pré-classique et classique (S. Hache, A. Petit et M.-C.Thomine).

- Anthropologie culturelle, histoire des mentalités, histoire des idées : enthousiasme, histoire des émotions, représentation des passions (B. Andersson, C. Jacot Grapa, A. Petit, Ch-O. Stiker-Métral, S. Hache, M.-C. Thomine), occasionnels et libelles (Fr. Greiner et A. Petit), imaginaire de la langue (S. Hache)

- Rhétorique et poétique des genres : le récit bref et le dialogue à la Renaissance, les textes discontinus (devis, miscellanées, apophtegmes…) (M.-C. Thomine), les discours poétiques (B. Andersson), rhétoriques (S. Hache et A. Petit), les genres moraux et religieux (S. Hache, Ch.-O. Stiker-Métral, F. Greiner), le roman et le romanesque (F. Briot, F. Greiner, A. Petit).

- Traductions et transferts culturels : Le roman français de l’âge baroque et ses sources italiennes et espagnoles (F. Greiner, A. Lembré).

Projets collectifs

Séminaires

Séminaire Les Libelles d’Ancien régime (XVI-XVIIIe), 2018-2022, co-organisé par Adrienne Petit avec Karine Abiven, Delphine Amstutz (Sorbonne-Université) et Alexandre Goderniaux (U. de Liège).

Séminaire « Formes littéraires et ressources de la pensée morale », J.-C. Darmon, E. Bury et Ch.-O. Stiker-Métral.

Séminaire disciplinaire « Poétique, rhétorique et stylistique. Perspectives théoriques actuelles » 2020-2023, organisé par S. Hache et F. de Chalonge avec les interventions des membres du laboratoire ALITHILA.

Éditions

Édition du Répertoire analytique des fictions narratives de l’âge baroque (org. F. Greiner avec F. Briot et A. Petit). Classiques Garnier. Le répertoire comporte de nombreuses notices dont certaines rédigées par des collègues (S. Hache, É. Picherot) et quelques étudiants.

De l’Amour de Senancour, éd. par Caroline Jacot Grapa, à paraître, in Œuvres complètes, dir. F. Bercegol, Classiques Garnier.

Édition numérique et sur papier de L’Astrée par Frank Greiner. Dernier volume paru : Honoré D’URFÉ, L’Astrée. Troisième partie, édition critique établie sous la direction de Delphine DENIS, Paris, Honoré Champion, « Champion Classiques », 2022, 888 p.

Les Contes et discours d’Eutrapel de Noël du Fail, éd. Marie-Claire Thomine, Paris, Classiques Garnier, coll. « Textes de la Renaissance », n°225, 2020, 801 p.

[Les heures perdues d’un cavalier françois, éd. Marie-Claire Thomine, Lille, Presses du Septentrion, coll. « Mémoires des Lettres », à paraître]

ANR

ANR ALEA (« figurations / configurations artificielles du hasard ») avec Caroline Jacot-Grapa. hasard.hypotheses.org

Roman 20-50 est la plus connue des revues universitaires consacrées au roman français des 20e et 21e siècles. Étiquetée comme une « référence majeure » par une récente expertise ministérielle, diffusée depuis plus de 20 ans en France et à l'étranger, elle est réputée pour sa lisibilité et sa redécouverte d'écrivains un temps oubliés.

S'adressant à un public d'universitaires, d'enseignants du secondaire et d'amateurs avertis, elle sollicite la contribution de spécialistes du domaine.

La revue Roman 20-50 est éditée par la Société Roman 20-50, avec le concours du CNL, de l'Équipe d'accueil « Analyses littéraires et histoire de la langue » et du Conseil scientifique de l'Université de Lille. La revue est diffusée par les Presses universitaires du Septentrion.

OBSERVATOIRE DES ÉCRITURES DANS LES MONDES FRANCOPHONES

 

 

SémaFores est le centre d’études francophones de l’Université de Lille. Il se consacre aux corpus littéraires issus de la francophonie internationale, formant avec les productions hexagonales un ensemble littéraire dynamique. SémaFores, c’est interroger sans complaisance la partition entre une production littéraire de France hexagonale qui serait centrale, d’un côté, et des productions qui seraient périphériques, francophones parce que non françaises, de l’autre. SémaFores, c’est donc chercher à décrypter ces fanaux réticulaires de langues françaises déterritorialisées, diverses, voire créolisées, qui irradient dans la littérature, qui envoient leurs signaux et produisent leurs signes à travers le monde, depuis les quatre coins du Tout-Monde. Mais SémaFores, c’est aussi déplier toute la question du choix de langue(s) au sein d’espaces francophones souvent diglossiques, à production comme à réception, dans le monde comme en France. Par là-même, c’est mettre en tension monolinguisme et plurilinguisme dans tous les espaces francophones, sans exception aucune.

 

Au cœur de cet observatoire des écrits en mondes francophones, les textes, en priorité des XXe et XXIe siècles, font l’objet d’approches plurielles : intertextuelles, métatextuelles, linguistiques et sociolinguistiques, sociolittéraires, culturelles, historiques (questions mémorielles, testimoniales, coloniales, postcoloniales, etc.). Il contribue ainsi à la réflexion épistémologique sur les spécificités des corpus impliqués, dont le statut « littéraire » et les conditions de production s’éclairent dans leurs rapports avec tout un vaste spectre d’écrits autres.

 

SémaFores fait partie du laboratoire ALITHILA (ULR 1061) où, en 2022, il a pris le relais de l’ex-centre RECIF fondé par Ahmed Lanasri et Jean-Christophe Delmeule. Cette composante est animée par Paul Dirkx, Marie Bulté et Frédéric Briot auxquels s’associe Esther Baiwir. Trois doctorants complètent l’ensemble. SémaFores disposera à partir de 2023 d’une revue en ligne éponyme. Au sein du laboratoire, cette composante tisse des liens avec celles qui abordent les littératures des XXe et XXIe siècles (en littérature française, dialectale, comparée et de jeunesse) et ses membres collaborent avec les revues Roman 20-50 et Les Grandes Figures historiques dans les Lettres et les Arts.

 

Sur le plan national et international, la composante a des liens étroits avec plusieurs universités (Université de Lorraine, Université du Luxembourg, Université du Québec à Montréal, Université Ki-Zerbo à Ouagadougou) ainsi que, entre autres, avec l’APELA (Association pour l’étude des littératures africaines, Metz), l’ASOLHIS (Approches sociales et historiques des littératures des suds, Paris), l’AEEF (Association européenne d’études francophones, Bruxelles) et le CIÉF (Conseil international d’études francophones). SémaFores organise chaque année une journée d’étude des littératures francophones en présence de chercheurs de divers pays francophones, ainsi que d’autres manifestations scientifiques régulières, parfois autour d’écrivains qui suscitent alors des conférences et des rencontres avec un public plus large.

Le dix-neuvième siècle, tel qu’il est travaillé dans la sous-composante “1789-1914”, hérite du décentrement du regard en cours dans les études critiques actuelles : il est abordé à partir d’objets peu ou mal connus, longtemps exclus du canon littéraire (la parole ouvrière, et plus largement la question de l’éloquence en régime littéraire, les oubliés du code civil, la caricature en littérature, la poésie de circonstance, la presse et l’écriture journalistique…) et dans une perspective qui privilégie la transdisciplinarité en s’appuyant sur les travaux d’autres sciences humaines (philosophie, histoire, histoire de l’art, sociologie, droit…). Les corpus d’études lisent ensemble « grands » auteurs (Lamartine, Hugo, Baudelaire…) et figures longtemps reléguées au second plan (Gautier, Banville, les productions ouvrières de 1848, sans compter bien sûr les autrices, Sand ou Desbordes-Valmore), qu’il s’agit de réexaminer dans leur temps, avec leur temps et sans pré-jugé quant à leur valeur. Pour cela, l’empan choisi est celui d’un grand XIXe siècle, qui commence par l’actualisation des Lumières dans la Révolution et se termine avec le changement de paradigme historique de la guerre de 1914.

L’équipe des comparatistes compte 5 membres titulaires (un professeur et quatre maîtres de conférences), plusieurs doctorant·es et vacataires (ATER, chargé·es de cours).

Les domaines de recherche des titulaires sont très divers et représentent bien l’étendue scientifique de la littérature générale et comparée. Ils sont tous membres de la SFLGC (Société Française de Littérature Générale et Comparée), plusieurs sont au CNU (Conseil National des Universités) ou membres du jury de l’agrégation. Ils interviennent donc dans l’ensemble des manifestations de la LGC tant au niveau local que national. Sur le plan international l’équipe compte la trésorière de l’ESCL (European Society of Comparative Literature) et a organisé le colloque de ce réseau en 2019.

Domaines de recherche des titulaires

Fiona McIntosh, professeur des universités en LGC est spécialiste de littérature britannique (XVIII-XIXe siècle), de littérature écossaise et plus particulièrement des lumières écossaises, de littérature française (XVIIIe-XIXe siècle), des liens entre littérature et histoire (causalité, hasard ; historiens allemands ; drame historique, roman historique), de littérature et politique (pensée libérale) et de littérature indienne anglophone.

Aude Ameille, maître de conférences, travaille sur les liens entre littérature et musique. Ses recherches étudient la notion d’intermédialité notamment à partir des livrets d’opéra (mise en scène et dramaturgie, histoire de l’opéra, opéra et cinéma, traduction, histoire des institutions lyriques).

Alison Boulanger, maître de conférences, s’intéresse au roman des XXe et XXIe siècles notamment à propos de la représentation de l’histoire et du temps en littérature. Ses recherches portent aussi sur la narratologie, le rôle de la Bible dans la littérature ou l’appropriation des domaines métaphysiques et philosophiques par le roman.

Emilie Picherot, maître de conférences habilitée à diriger des recherches, étudie la représentation, la diffusion et l’enseignement de la langue arabe dans l’Europe humaniste. Elle travaille sur l’histoire et la représentation des musulmans d’Espagne en lien avec leurs propres productions (manuscrits aljamiados).

Jessica Wilker est spécialiste de poésie (XIXe-XXe) en allemand et en français et plus particulièrement de Mallarmé et Rilke. Elle s’intéresse aux liens entre littérature et musique ainsi qu’aux problématiques de traduction.

Exemples de projets en cours

- Projet ALEA (Fiona McIntosh)

En dégageant et en historicisant les principaux modes de figuration fictionnels et factuels du hasard, tels qu’ils se donnent à voir dans les représentations artistiques de la contingence, les chercheurs du réseau ALEA étudient le rôle central que joue l’art dans la perception humaine du hasard, dans les pratiques pré-modernes, modernes puis post-modernes de projection sur l’avenir, afin de mieux comprendre les attitudes humaines contemporaines face au risque.

- Projet Philogynie polémique (Adrienne Petit, Emilie Picherot)

La littérature philogyne, moins connue, moins diffusée et moins étudiée existe et elle n’a pas attendu les mouvements féministes des XIXe, XXe et XXIe siècles pour se développer. Dès le XVe siècle, autour de ce que l’on appelle la « Querelle des femmes », initiée notamment par Christine de Pizan qui répond à la misogynie du Roman de la rose de Jehan de Meung, un discours philogyne se construit en rapport avec ce que la littérature majoritaire fait du rôle des femmes, dans la société comme dans différents domaines des arts et du savoir. La veine philogyne se poursuit au XVIe siècle et certains auteurs et autrices (Cornelius Agrippa ou Guillaume Postel) élaborent une forme d’humanisme inclusif qui met en question la hiérarchie des genres et incitent à repenser la place des femmes. Héritier de cette tradition ou réinventant une philogynie propre, le siècle suivant s’empare lui-aussi de la question.

- Revue : Les Grandes figures historiques dans les lettres et les arts (Fiona McIntosh, Alison Boulanger)

Le projet de « Les grandes figures historiques dans les lettres et les arts » se situe dans la lignée des réflexions sur la notion de perspective en histoire qui trouve un écho dans les domaines de l’historiographie, de la « cultural memory » et des études littéraires, depuis ce que la critique anglo-saxonne appelle « the linguistic turn » ou le « cultural turn ». Il s’agit d’étudier la mise en récit ou en image de l’Histoire et des grandes figures historiques. Nous voulons rendre compte des variations dans la manière dont la mémoire collective, la postérité (restreinte ici aux oeuvres littéraires et artistiques), se construit, se modifie et intègre sans cesse de nouvelles figures. Nous voulons voir enfin comment ces figures sont désignées et reconnues dans les Lettres et les Arts et peuvent jouer un rôle dans la conscience des groupes sociaux.

La recherche autour des littératures de langue allemande s’articule autour de trois grands ensembles liés par le travail autour de l’histoire et de la mémoire :

 

Identités juives

La réflexion autour des identités juives englobe l’Allemagne et l’Europe centrale et orientale et s’étend sur une période allant du XVIIIème au XXIème siècle . Y sont interrogées la place de la judéité dans les littératures allemande et yiddish et spécifiquement la mémoire de la Shoah et l’inscription de la Shoah dans ces deux littératures. Ce travail est adossé à un séminaire de recherche de M1 (« Identités juives en Allemagne et en Europe centrale ») et, suivant les années, de M2.

 

Histoire littéraire et culturelle de la RDA

- littérature, histoire, mémoire : représentations littéraires de la Seconde Guerre mondiale, de l’antifascisme, de la Shoah

- histoire littéraire et réévaluation du « canon »

- la question du champ littéraire ; réflexions sur l’autonomie et l’hétéronomie dans la littérature de RDA : les avant-gardes et leurs modèles littéraires (réception des avant-gardes d’Europe de l’Est, intertextualité et intermédialité) ; les formes littéraires « hétéronomes » (p. ex. le reportage)

- presse culturelle et circulation des discours littéraires, artistiques et esthétiques dans la société est-allemande -> Projet émergent de la MESHS de Lille (2023-2024) : PERARTEM (Périodiques, archives et témoignages : exploration et pérennisation d'un périodique culturel de RDA)

 

La littérature contemporaine de langue allemande

- la littérature mémorielle (national-socialisme ; RDA) : rapports entre mémoire et post-mémoire, littérature factuelle et fictionnelle ; la question des deuxième et troisième générations et de la transmission transgénérationnelle du trauma (représentations littéraires)

- littérature et représentation du temps : figurations littéraires de la rupture de 1989

- littérature, migration et post-migration

 

Ces recherches trouvent leur expression dans la co-direction de deux revues :

- La revue Germanica (co-direction Carola Hähnel-Mesnard et Martine Benoit), revue bi-annuelle dont le champ d’investigation est constitué par la littérature, la culture et l’histoire des idées des pays germanophones aux XXe et XXIe siècles, qui publie des articles à la fois en langue française et en langue allemande.

- La revue Tsafon (co-direction Danielle Delmaire et Martine Benoit), revue bi-annuelle d’études juives du Nord, qui s’attache aux textes bibliques et rabbiniques, à la religion et aux relations interreligieuses, à l’histoire du peuple juif de l'Antiquité à nos jours, à l’histoire de l’État d'Israël, à la littérature contemporaine juive et israélienne. Les aires géographiques concernées sont le Moyen-Orient et les lieux des diasporas juives.

Brigitte Gautier - mcf hdr de langue et littérature polonaises, Université de Lille, ALITHILA.

Aleksandra Wojda - mcf d’histoire culturelle d’Europe centrale, Université de Lorraine, membre associée ALITHILA.

Kristyna Matysova - dr en littérature comparée, enseignante contractuelle Université de Lille, CECILLE.

 

Axe : De l’histoire aux fictions en Europe centrale et orientale aux XXe et XXIe siècles : littérature, cinéma et arts graphiques.

 

Mercredi 11 octobre de 10.00 à 13.00 Pont-de-Bois : rencontre avec des écrivains d’investigation, ateliers d’écriture et de traduction.

 

Projet de séminaire et de publication.